Le produit MilGPS : une réponse aux besoins de modernisation des Marines - 21/10/2010
DIGINEXT, filiale du groupe CS Communication & Systèmes, est aujourd’hui reconnu comme l’un des grands acteurs français pour la conception de Systèmes de Navigation.
Le récepteur MilGPS, dernier né de sa ligne de produit de navigation, est le premier récepteur SAASM 100% européen, dédié aux applications navales. Novateur et évolutif, il a été conçu pour s’adapter à tout type de plateforme et à tout type de protocole de Navigation.
Elaboré autour de la carte GNSS 100SS de Thales, et compatible avec l’antenne électronique Thales TOPSHIELD 400, le récepteur MilGPS est une réponse au besoin actuel du marché en terme de coût et de modernisation.
Retenu par la Marine Royale Néerlandaise, il sera installé sur l’ensemble des bâtiments de guerre. Par Ailleurs Diginext a signé un contrat cadre avec la NAMSA, permettant aux pays de la zone OTAN, de se procurer le récepteur MilGPS plus simplement et en optimisant les coûts.
Ce contrat a déjà permis à la Marine Française de tester opérationnellement le produit en Juillet 2010.
Au total, ce sont soixante-dix équipements qui seront alors installés sur des bâtiments de surface et sous-marins Néerlandais et Français durant les deux prochaines années.
Le récepteur MilGPS, dernier né de sa ligne de produit de navigation, est le premier récepteur SAASM 100% européen, dédié aux applications navales. Novateur et évolutif, il a été conçu pour s’adapter à tout type de plateforme et à tout type de protocole de Navigation.
Elaboré autour de la carte GNSS 100SS de Thales, et compatible avec l’antenne électronique Thales TOPSHIELD 400, le récepteur MilGPS est une réponse au besoin actuel du marché en terme de coût et de modernisation.
Retenu par la Marine Royale Néerlandaise, il sera installé sur l’ensemble des bâtiments de guerre. Par Ailleurs Diginext a signé un contrat cadre avec la NAMSA, permettant aux pays de la zone OTAN, de se procurer le récepteur MilGPS plus simplement et en optimisant les coûts.
Ce contrat a déjà permis à la Marine Française de tester opérationnellement le produit en Juillet 2010.
Au total, ce sont soixante-dix équipements qui seront alors installés sur des bâtiments de surface et sous-marins Néerlandais et Français durant les deux prochaines années.